Photo de sources ouvertes
Des scientifiques américains et belges ont tenu un études à grande échelle et est arrivé à une conclusion décevante: le consommateur moyen de nouvelles préfère recevoir informations négatives et effrayantes que positives et bonnes.
Et, comme il s’est avéré, peu importe d’où il vient: de journaux, magazines, télévision ou Internet. La chose principale pour lui est trouver quelque chose de mal. Ou plutôt on dira qu’il aiguise leur attention se porte précisément sur le négatif que sur le positif. Et ça n’a pas d’importance – les nouvelles sont fausses ou vraies. Pourquoi cela se produit-il?
Il s’avère qu’une personne normale a des informations négatives perçoit plus optimiste. Par exemple, une sorte d’effrayant il se réjouit des événements, car ils ne lui sont pas arrivés, les tragédies économiques lui font intensifier et être plus économique et ainsi de suite.
Mais les nouvelles économiques positives détendent une personne, le forcer à dépenser beaucoup d’argent sans réfléchir, par exemple pour voyages touristiques, achats, après quoi il a épargné passé l’argent, commence inconsciemment une telle information, pour le dire doucement, ne pas aimer.
Pourtant, le bien et le bien qui se passe dans le pays, le monde dans son ensemble, beaucoup de gens envient que, encore une fois, réside dans l’esprit subconscient comme une acquisition négative, et pour cette simple raison le profane commence à éviter de telles informations positives.
Et nous pensons pourquoi dans la presse, à la télévision, sur Internet, enfin, tant de choses terribles et négatives? Et la petite poitrine ça vient d’ouvrir: il y a une demande – il y aura une offre!
De l’argent