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Parmi les scientifiques, il y a des excentriques qui ont tendance à croire que en plus de l’humanité de la terre sur notre planète, il y a encore et … l’humanité est sous l’eau. Un des adeptes de cette idée est Rakosh Kafadi, professeur de biologie à l’Université de Calcutta. Il est estime que ces deux civilisations divergent pour une raison inconnue encore dans les temps anciens, mais gardent entre eux une certaine parenté. Kafadi renforce ses constructions théoriques expériences pratiques.
Pour l’un d’eux, en 1991, un jeune de soixante-dix ans était invité. yogi Ravinda Mishda, qui a accepté sous la supervision de caméras, sans tout appareil respiratoire technique, tenir par le bas lac à une profondeur de 19 mètres en position du lotus dans un état profond méditation aussi longtemps que possible. Le résultat est surprenant – 144 heures 16 minutes 22 secondes. Comment pratiquement impossible? Rakosh Kafadi a révélé un secret: le gourou Mishda sait comment passer ses poumons aux branchies, et ce fait a été confirmé scientifiques indépendants.
Autrement dit, les poumons du yoga de Ravinda Mishda, complètement remplis d’un lac l’eau, l’oxygène a été extrait, semblable à la façon dont cela se passe chez les poissons. De plus, le gourou après l’expérience a déclaré qu’il avait des techniques ancestrales qui vous permettent d’enseigner la respiration dans l’eau toute personne qui connaît l’art du yoga.
Dans ses conclusions de l’expérience, le professeur Kafadi a déclaré: “Ce résultat est ma preuve irréfutable de que nous, si nous exprimons un désir, pouvons devenir essoufflés. Nous sommes tous les enfants autochtones des océans dont les ancêtres voyageaient autrefois avec mission de développer la terre. ”
CARACTÉRISTIQUES DE L’ORGANISME
Nous, les humains, sommes uniques parmi les mammifères terrestres en ce que ils sont capables de respirer avec la même facilité avec le nez et la bouche. Alors unique dans cette série est notre manque de capacité à respirer et boire en même temps. Cette raison est une caractéristique de la structure notre nasopharynx, que les scientifiques appellent le «larynx abaissé».
Tous les autres mammifères terrestres, que ce soit un chat, un chien, taureau ou souris, il y a un canal séparé reliant le nez aux poumons, gorge respiratoire séparée. Les animaux ont un autre canal, l’œsophage qui relie la bouche à l’estomac. Ces deux canaux séparés. Par conséquent, les animaux sont capables de boire et respirer. Cela est dû au fait que la bouche et le nez sont séparés la bouche dont le devant forme l’arc osseux de la bouche. Retour une partie est constituée de tissus mous. Tout terrain mammifères, à l’exception des humains, la gorge respiratoire passe à travers le palais sous la forme d’un muscle obstructif annulaire – le sphincter. Alors ainsi, la gorge respiratoire est située au-dessus de leur cavité buccale et connecté uniquement avec le nez.
Dans certaines conditions, le sphincter peut se détendre et permettre à la partie supérieure de la gorge respiratoire – le larynx – de descendre dans la cavité buccale. Dans ce cas, l’air des poumons peut soit pousser ou rétracter. C’est cette fonctionnalité qui permet par exemple, aboyer un chien. A la fin des aboiements, la gorge respiratoire recommence monte et le sphincter se contracte, ce qui à nouveau réglage de la séparation des canaux pour l’air et pour la nourriture.
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Mais chez l’homme, la gorge respiratoire n’est pas reliée au bout de la bouche, mais est dans la gorge, sous la racine de la langue. C’est cette position et appelé «larynx tombant». Nous n’avons pas de sphincter en bouche, ce qui séparerait la gorge respiratoire et l’œsophage. Face au dos notre palais est ouvert, ce qui permet de recevoir comme de l’air, et la nourriture – à la fois dans les poumons et dans l’œsophage.
C’est ce qui rend la déglutition difficile car une personne doit s’assurer que la nourriture et les boissons entrent œsophage, pas dans la gorge respiratoire. Perte de contrôle sur cela un processus dû, par exemple, à une maladie ou à une intoxication extrême, parfois lourde de mort.
Ce qui est très curieux, comme chez l’homme, est arrangé nasopharynx chez les mammifères marins: baleines, dauphins, marins lions, phoques. Ce qui sur terre est un inconvénient dans l’eau l’environnement devient un avantage. Avec la capacité de respirer par la bouche, les animaux marins peuvent inspirer et expirer une quantité importante l’air en peu de temps.
Ceci est très important dans les conditions où une créature vivante doit émerger un moment pour respirer de l’air frais et de nouveau plonger dans les profondeurs de la mer. Il permet également l’animal inspire ou expire très lentement à pleine puissance contrôle conscient du processus. Il est possible que ce une particularité d’un organisme a donné naissance à une personne unique à un animal la capacité du monde à parler en connaissance de cause.
L’écrivain anglais Michael Bagent dans son livre The Forbidden l’archéologie “attire l’attention sur quelques autres caractéristiques, parents d’humains avec des mammifères marins. Par exemple, sur l’homme copulation en face à face. Animaux terrestres non pratiquer ce type de contact sexuel, mais il est commun chez les baleines, les dauphins, les loutres de mer et autres espèces aquatiques similaires les habitants.
Encore une fois, les personnes directement sous la peau ont des couche de graisse. C’est environ 30% de toutes les graisses dépôts de notre corps. La même couche de graisse est la norme pour les mammifères aquatiques. Il est très développé chez les baleines et les dauphins et les phoques. C’est lui qui protège bien le corps perte de chaleur, mais elle est dans le milieu aquatique. Dans l’air, il est beaucoup moins plus efficace que l’isolation thermique conventionnelle de la couche de base laine.
Notre méthode de transpiration est tout aussi unique au règne animal, comme notre capacité à marcher en toute confiance sur deux jambes et à parler. Il s’agit d’un mécanisme étonnamment inefficace pour la terre: il gaspille du liquide et des sels, démarre lentement, à risque d’insolation et réagit lentement aux cas où le niveau de liquide et de sels dans le corps approche limite dangereuse.
Ne pas entraver la carence en sels dans le corps – signifie apporter vous déranger. Le corps humain avec une transpiration active est capable de utilisez tout votre sel en seulement trois heures. C’est conduit à l’apparition de convulsions sévères, et si vous ne prenez pas d’urgence puis à mort. Inutile de dire que les petits animaux de la savane, où, comme le pensent parfois les scientifiques, et un homme apparu, au contraire, est capable de courir sous le soleil brûlant pendant des jours sans les moindre dommages propre santé.
Comprendre toutes ces caractéristiques de la nôtre, peut-être, juste d’y penser: peut-être qu’une personne vient vraiment non seulement de de la savane, mais pas du tout de l’environnement terrestre?
KTULHU DU DÉSERT DE GOBI
En 1999, un groupe de paléontologues anglais a travaillé dans la région Uulah dans le désert mongol de Gobi. Leur objectif était exploration d’un cimetière de dinosaures dans une gorge de montagne isolée. Les scientifiques des résidents locaux ont entendu la légende de la vie dans la gorge est un démon osseux, mais ils ne lui en ont pas donné valeurs.
Quelle a été leur surprise quand un mur s’est ouvert devant mes yeux avec des dépôts, sur lesquels le squelette des dizaines de morts il y a un million d’années une créature humanoïde géante avec un très structure corporelle spécifique. Sa boîte de crâne en nombre les signes indiquaient une relation étroite avec le premier humanoïde des singes qui vivaient il y a 6-8 millions d’années. Autre signes anthropologiques clairement obligés de lier la découverte avec homo sapiens très développé. Caractéristiques structurelles du crâne, a incontestablement témoigné que cette créature était dans une certaine raisonnable, car il possédait des organes de la parole et, par conséquent, pourrait parler.
La seule image disponible de cette découverte qui peut être trouver sur internet
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La structure du squelette de la créature trouvée par les Britanniques était proche de à l’humain. De plus, sa croissance était d’environ 15 mètres. La longueur les membres postérieurs atteignaient à eux seuls 7 mètres. En même temps l’attention est exorbitante de grandes mains. Leurs doigts étaient si long, qui, peut-être, ressemblait à bien des égards aux nageoires osseuses cétacés. En tout cas, en présence de membranes entre avec de longs doigts, une gigantesque créature pourrait très bien faire nager.
La découverte semblait si inhabituelle que les paléontologues certains le temps ne savait littéralement pas quoi dire. Américain Alain Parker a déclaré: “Que cela paraisse ringard, mais cela ne peut pas être, car que cela ne peut jamais être. ”
La célèbre revue Nature a suggéré que la découverte dans Uulah – un canular très professionnel et coûteux, créé par des spécialistes talentueux et désorienté l’anglais. Juste une autre “main de Moscou”! Dr. Townes of La Grande-Bretagne était plus moderne et a prononcé quelque chose d’assez heureux ufologues.
“Peut-être, et encore plus probablement”, a-t-il dit, “nous n’avons pas avec la race humaine éteinte il y a des millions d’années, et avec autre chose, pas caractéristique de notre nature. Cette créature semble avoir évolué. en dehors des lois de notre évolution. ”
Son compatriote Daniel Stanford dans les pages du journal Globe évalué la découverte un peu différemment: “Il semble que nous devrons reconsidérer toute l’histoire de la planète connue de l’humanité. Ce que nous avons découvert complètement contraire à l’image scientifique existant à ce jour du monde. ”
Il est à noter que le héros de l’un des depuis quelque temps un roman très à la mode de Howard Philips Lovecraft, et c’est le monstre de l’eau Cthulhu, l’imagination des artistes apparaît avec de très longs doigts griffus. Par conséquent, pour le plaisir, nous nous pouvons appeler le géant Cthulhu du désert trouvé près d’Uulakh Gobi. “Mais juste pour le plaisir, comme il se peut, laissez et très éloigné, mais toujours notre ancêtre.
NOS VOISINS ET FRÈRES?
Les profondeurs de l’océan regorgent encore de nombreuses inconnues de la science. créatures. Chaque année, les ichtyologistes et les océanologues découvrent des dizaines, sinon même des centaines de nouvelles, et les prochaines découvertes n’ont pas de chiffres. XX passé le siècle a apporté de nombreuses surprises. Par exemple, trouvé dans l’océan poissons cystères considérés comme éteints depuis longtemps. Existence calmar géant est contesté depuis des décennies, mais avec quelque temps il a un nom scientifique – Architeuthis dux.
Dans différentes parties du monde, des vagues ont emporté ses restes, le long desquels les experts ont pu déterminer la taille du céphalopode – jusqu’à 30 mètres en longueur avec tentacules! Mais la mer ramène parfois à terre si grandes, mais des créatures beaucoup plus mystérieuses. À Étrange semblable aux sirènes légendaires! Il y a des histoires sur des gens qui se sont transformés en ichtyandre.
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Il y a 300 ans, un certain Francisco vivait dans la ville espagnole de Lierganes de la Vega Casar, qui depuis l’enfance a fait preuve d’un fantastique la capacité de nager et un amour fantastique de l’eau. En 1674 le aux yeux de ses camarades, un fort courant emporta Francisco dans la mer. Cinq ans plus tard, dans la baie de Cadix, des pêcheurs ont capturé une créature, leur a volé du poisson. Il s’est avéré être un grand jeune homme pâle, presque peau claire et cheveux roux. Des écailles sont apparues sur sa peau, les doigts ont été connectés avec un mince film brun, donnant brosses similaires aux cuisses de canard. Pris transporté � Lier ganes, où il a été reconnu comme Francisco de la Vega Casar par sa mère et frères. À ce moment-là, le jeune homme avait oublié comment parler, et une fois, ayant entendu le cri étrange de quelqu’un se précipita à tout prix vers la rivière, dans les eaux desquelles et caché. Cette fois – pour toujours.
Le biologiste suédois Jan Lindblad a émis l’hypothèse que sur Terre avant l’apparition des Néandertaliens et des Cro-Magnons en eau douce ikspitek vécu – primates aquatiques. Avant l’avènement de l’homo sapiens, ce l’ichtyandre appartenait à la planète entière, cependant, à l’époque le réchauffement des eaux glaciaires se tarit, ils durent se cacher marécages sans fin, marigots ternes et lacs d’eau profonde, comme le Baïkal. Certains d’entre eux ont peut-être réussi à s’adapter à la vie. dans les mers.
Les mythes anciens ont quelque chose en commun avec cette hypothèse. Les légendes sumériennes parlent d’une race de monstres – mi-poisson mi-humain. Sous la direction d’un certain Oannes, ils ont émergé des eaux du Perse Golfe et s’installe dans les villes de Sumer. Ils ont appris aux gens à écrire, cultiver des champs et traiter des métaux. Écrit sumérien la source dit d’Oannes: “Son corps entier était comme le corps d’un poisson, sous la tête du poisson, il avait une tête différente, et sous ses pieds, comme humain, mais attaché à la queue de poisson. Sa voix et sa langue étaient humain et difficile; l’idée de lui est toujours vivante alors. ”
Les mythes de l’Inde ancienne contiennent également des informations sur les habitants intelligents mer profonde appelée “nivatakavachi”, qui se traduit par “vêtu de coquilles invulnérables.” Dieu Indra a demandé au héros de l’épopée Mahabharata Arjuna une sorte de frais pour la formation militaire art: “J’ai des ennemis – les Danavas, ils sont appelés nivatakavachi; mais il est difficile de les atteindre: ils vivent en grimpant dans les entrailles de l’océan. Ils disent leurs trois cent millions, en sélection, ils sont d’apparence égale et pleins de force. Battez-les là-bas! Que ce soit votre salaire au professeur. “Et au grand le guerrier Arjuna a vraiment réussi à vaincre le nivatakavachi.
On sait que le célèbre cryptozoologiste américain Ivan T. Sanderson s’est prononcé à plusieurs reprises en faveur de l’existence civilisation sous-marine extrêmement ancienne très développée. Grand l’attention d’une hypothétique civilisation sous-marine est également accordée Ufologues russes et étrangers, qualifiant parfois habitants humanoïdes de l’océan Poséidon. Ils mentionnent une ancienne prophétie tibétaine qui dit qu’à la fin du 20e siècle le monde sous-marin viendra progressivement à la surface de la Terre. Les gens le prendre avec hostilité et ainsi infliger de terribles dommages à leur développement et salut.
QUAKERS
C’est dans la seconde moitié du siècle dernier que les marins mystérieux mouvement sous-marin rapide objets, appelés conditionnellement “Quakers”. Rencontre avec eux sous l’eau les bateaux ont commencé dans les années soixante. Habituellement, ces mystérieux objets chassés par des sous-marins, qui étaient accompagnés d’étranges des signaux acoustiques ressemblant à un coassement de grenouille, qui, en fait, les sous-mariniers et les a appelés “Quakers”.
L’acoustique a toujours fait une impression durable conscience de l’action de sources sonores inconnues. Semblait “Quakers”, apparaissant de partout, ont constamment essayé prendre contact. A en juger par le roulement en constante évolution, ils tourné autour de nos sous-marins et, changeant le ton et la fréquence signaux, comme si les sous-mariniers invités à parler. A été créé l’impression qu’ils se comportent assez amicalement.
Les Américains pendant la guerre froide ont également à plusieurs reprises a dû faire face à d’étranges objets sous-marins. Donc dans 1957 Escadron de bombardier stratégique américain en survolant la mer au-delà du cercle polaire arctique découvert un mystérieux dôme d’acier qui a rapidement disparu sous l’eau. Il a été noté qu’en survolant le “dôme” de l’avion, il refusait de nombreux appareils embarqués.
En 1963, lors de manoeuvres navales au large des côtes Puerto Rico Yankees a découvert à une profondeur de plus de cinq kilomètres un objet se déplaçant à une vitesse de 150 nœuds (280 km / h). Il est escorté discrètement les navires pendant quatre jours, puis remontant à la surface même de l’eau, puis plongeant à nouveau dans l’abîme de l’océan. Un an plus tard, au cours d’exercices au sud de la Floride instruments de plusieurs destroyers américains a été enregistré un objet mystérieux qui s’est déplacé à une profondeur de 90 mètres avec 200 nœuds (370 km / h).
DEUX BRANCHES
Tout cela suggère que nous ne sommes pas seuls dans notre planète en tant qu’êtres civilisés et que l’évolution de l’humanité a été d’une manière légèrement différente de ce que l’on croit généralement. Il est possible que la créature trouvée dans le désert de Gobi était un résident de l’élément eau, et que il est devenu l’ancêtre de la terre et de l’eau de l’humanité. Certains de ses descendants ont poursuivi leur évolution développement dans les mers et les océans, créant une chaîne de “Poséidon” civilisations, et d’autres, comme on dit, sont allés sur terre et évolué en personnes.
Ce processus n’était guère simple et direct, outre on ne peut pas exclure que les gens et Poséidon ont sauvé certains affinité génétique, permettant les circonstances se mutent. Bref les données accumulées par les ufologues nous permettent de le faire hypothèse.
Victor BUMAGIN
Water Time Dolphins Fish Dogs
