La photo provenant de sources ouvertes L’agence spatiale se prépare activement � atterrissant sur Mars, et maintenant il fait l’expérience d’un parachute titanesque, qui peut fournir un atterrissage sur la planète rouge.
La clé pour réussir à atterrir sur Mars est la même dans ce qu’elle consiste à atterrir sur n’importe quelle planète: freiner lentement, avant de tomber au sol. Et c’est pourquoi les ingénieurs de la NASA testent actuellement un parachute supersonique qui est la façon dont ils espérons être en mesure de fournir l’ajustement le plus doux pour les plus lourds vaisseau spatial – comme ceux qui seront livrés tôt ou tard les gens à la surface de la planète rouge.
La photo à partir de sources ouvertes
Cette semaine, ils se sont réunis sur un site d’essai de missiles à Hawaï pour Test du décélérateur supersonique basse densité (LDSD) – Complexe un ensemble d’appareils, dont une soucoupe volante gonflable et parachute géant conçu pour atterrir sur Mars. Prénom à qui ce prototype a été donné – Keiki à propos de ka honua, ce qui signifie “Enfant Terre “en haïtien.
Ce parachute est beaucoup plus grand que tout autre parachute utilisé dans les missions spatiales auparavant. Ayant un diamètre de 33 mètre, il est plus de deux fois plus grand que le parachute qui a abaissé Curiosité à la surface de Mars en août 2012.
Pour simuler l’atmosphère sur-déchargée de Mars, les scientifiques découvrez le LDSD à une altitude de 54 kilomètres – c’est 16 kilomètres plus loin que le point d’où Felix Baumgartner a sauté. Et ça à mi-chemin de l’espace.
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Si tout se passe comme prévu, dès que le LDSD atteint une hauteur 54 000 mètres, un tuyau en Kevlar est gonflé autour de l’appareil – il aider à créer une résistance lorsque l’appareil tombe librement Terre, et en même temps collectera des données au cours de ce processus. Sur vitesse maximale, l’ensemble du système se déplacera quatre fois dépassant la vitesse du son, et chauffe jusqu’à 315 degrés Celsius. À au moment où les parachutes s’ouvrent, l’appareil ralentit déjà à Mach 2,5 puis planifiera encore 45 minutes à l’endroit de son atterrissage Océan Pacifique, où les scientifiques le ramasseront.
L’appareil sera équipé de quatre caméras GoPro et de plusieurs par d’autres. Et au cours de la prochaine année, la NASA prévoit de tester Hawaï a deux autres véhicules gonflables.
Mars NASA