La photo à partir de sources ouvertes
Résidents du petit village de St. Marys dans la province canadienne Terre-Neuve-et-Labrador souffre de 17 ans de sérieux et en même temps étrange (juste fantastique) problèmes.
Environ 400 personnes vivent ici, et toutes sont obligées d’inhaler l’odeur dégoûtante du poisson pourri dans une usine abandonnée à proximité. En été, la puanteur devient si insupportable que les malheureux Canadiens doivent quitter leurs maisons et partir vivre avec des parents.
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Cette histoire remonte à 1990. Vietnamien l’immigrant Sangh Ngo a ensuite déménagé pour vivre à St. Marys et a découvert voici une plante pour la production de sauce, très populaire en Cuisine vietnamienne. Certes, cet assaisonnement ne plaira pas loin à tout le monde, car il est fabriqué à partir d’effilochage poisson fermenté et a également une odeur très désagréable goût piquant.
En 2002, Sangh Ngo a soudainement disparu, laissant son usine à ses propres moyens. le destin De plus, 150 géants réservoirs avec purée de poisson fétide pourri. Ce sont eux qui créent jusqu’ici Depuis lors, des problèmes pour les résidents de St. Marys.
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Ils disent que l’aventure d’un entrepreneur vietnamien a été dissimulée Agence canadienne de la qualité des aliments cependant on ne sait pas pourquoi tout cela a été fait aussi étrange que si quelqu’un d’en haut a organisé pour les habitants de St. Marys une punition du ciel pour certains péchés.
Le fait est que pendant les 17 années, les autorités locales n’ont pu trouver aucun une entreprise qui a accepté de nettoyer ces «écuries d’Augean». au fil du temps, les déchets de poisson se sont détériorés davantage et, finalement, devenir si toxique que même les rongeurs sont partis depuis longtemps les murs de la plante, et aujourd’hui, ils quittent progressivement la maison de St. Marys.
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Et où aller chez les malheureux indigènes dans ce cas? Tous fait appel aux autorités (non seulement de la province, mais aussi plus haut, jusqu’� centre) n’ont pas encore réussi. Il n’y avait qu’une seule entreprise a accepté de nettoyer l’usine de déchets de poisson puants pour 700 mille dollars, mais il n’y avait personne qui pouvait payer cette somme d’argent bien rangée. Une telle offre ressemblait à une moquerie sur les habitants de St. Marys.
Par conséquent, le mystérieux problème du village canadien demeure déjà envahi par les rumeurs et les spéculations les plus ridicules. Ils parlent même que l’homme d’affaires vietnamien a été pris par des étrangers, et sa plante, avec le poisson pourri, sert à une sorte d’expérience sur les habitants de St. Marys. C’est pourquoi personne n’est censé faire quoi que ce soit peut-être pour résoudre ce problème en général insignifiant à l’échelle pays civilisé. Cependant, la plupart des Canadiens sont encore croire que la puanteur de nombreuses années est la punition de Dieu, et donc endurer et prier, espérer et attendre. Un chariot, comme on dit, et maintenant là …
Le temps du poisson