La photo à partir de sources ouvertes
Les chercheurs français ont réussi, disent-ils, une fois pour toutes prouver qu’Adolf Hitler est décédé à la fin de la Seconde Guerre mondiale, et n’a pas déménagé secrètement pour vivre en Amérique du Sud ou ailleurs, par exemple, à la mystérieuse base nazie allemande en Antarctique. En 1945, il s’est suicidé à Berlin en prenant du cyanure de potassium, tandis que comme le vrai commandant de son armée, il ordonna après tirez-vous.
Pour le déterminer, les experts ont eu un accès rare � fragments des restes du chef du Troisième Reich, stockés à Moscou Archives du Service fédéral de sécurité. Il s’agit du crâne et des dents un homme considéré comme le défunt dictateur du Troisième Reich. Les résultats de ces travaux ont été publiés dans une publication scientifique. “Journal Européen De Médecine Interne”.
Il est rapporté que les scientifiques pour la première fois depuis 1946 ont reçu l’accès aux précieux vestiges du Fuhrer. Professeur Philippe Charlier qui est l’auteur de cette étude, dit que les os, comme il s’est avéré appartenir en fait au chef nazi. Des experts ont utilisé la radiographie du crâne d’Hitler réalisée en 1944 année. Il s’est avéré qu’il est parfaitement compatible avec le crâne avec une balle trou stocké dans la capitale russe.
Les dents du chancelier du Reich sur lesquelles des traces de cyanure ont été trouvées, s’est également avéré authentique pour le chef des nazis allemands. Hitler avait mauvaises dents et utilisé beaucoup de prothèses avec des obturations, par conséquent, les chercheurs ont facilement identifié le Fuhrer de l’ancien matériaux dentaires.